Le petit nouveau à son aise

Le petit nouveau filla direct à sa chambre.
* Encore un autre endroit de ****. Et qu'est-ce qu'il y a de plus ici qu'ailleurs? *
Il lança sa valise dans un coin, ne prenant même pas soin de fermer sa porte et s'étala sur son lit. Il posa ses mains derrière son cou et ferma la yeux. Il les réouvrit et regarda la pièce plus en profondeur. * Simple, traditionnel...rien de spécial. Allons voir le garde-robe. *
Il se leva, laissant son manteau de cuir noir sur le lit tout plissé. Il ouvrit la porte du garde-robe. Il ne fut pas plus surprit que la pièce précédante. Il la referma et enleva son manteau pour le reposer ailleurs, sur la bordure de la fenêtre. Raleven s'installa un peu mieux cette fois, enleva ses bottes et se coucha sur le dos, la tête sur l'oreillé. Il ne remarqua pas la persone qui venait de passé le couloir...

Le jeune homme ouvrit les yeux lorsqu'il entendit quelqu'un l'interpeler. Il tourna légèrement la tête pour voir qui était la. Il y vit une jeune fille à la délicate beauté sur le pant de la porte. Il se leva rapidement et descendit de son lit. Il positionna sa main droite sur son ventre et l'autre derrière son dos. Il lui fit une révérence de la haute société car il lui devait lui rendre sa gracieuse présence.
-Mademoiselle! Fit-il en remontant doucement en dévisageant prudament le visage de la jeune fille.
* Une si belle femme en c'est lieux, que mon éducation lui rendre tout ce qu'elle mérite. Son parfum envoutant déguise l'odeur de ma chambre, ses cheveux d'ébène fond ombre à la nuit. Je devrais lui dire ça un jour! Ha! l'inspiration du moment! Mais bon, que fait-elle ici? Elle ne restera pas muette longtemps. *
-Bienvenue dans mon humble chambre!

Raleven enleva son gant ( il n'en avait qu'un) le jeta sur son lit et regarda la jeune fille. Il eut un haussement de sourcil lorsqu'elle dit que sa beauté illuminait sa chambre.
* Une prétentieuse, dur à faire du social et ira jusqu'au bout pour avoir ce qu'elle désire. Un personne qui pourrait être bon allier par ici. Un bon language, semble venir d'une grande ligné mais n respecte pas les règles de biencéances d'une rencontre, asssez dur à spécifier d'avantage, voyons voir encore! *
- Raleven Cordélane mademoiselle. Pour vous servir. Je ne peux malheuresement pas vous tirer mon chapeau, certes, mais voyez en l'intention.
* Elle va être débousoller en voyant que je ne demande pas son nom. De toute façon, il est impoli de questionner une dame. *
Raleven se retourna et continua de se déshabiller doucement. Il enleva une autre épaisseur, une veste épaisse de cuire. À voir ce qui commençait à s'accumuler, on pourrait presque dire qu'il vietn d'un pays nordique.

Nor avait comme l’impression qu’il essayait de la classifier quelque part. elle haussa les sourcils et fit une moue désapprobatrice. Il allait avoir beaucoup de mal.
Il se présenta mais ne lui demanda pas son nom. Normal, en tout cas pour elle. De une, elle ne donnait presque jamais son nom à la première. De deux, il aurait été impoli de le faire.

<< Je vous avertis toute de suite. N’essayez de savoir qui je suis, d’où je viens et tout le reste. Car je suis certaine que vous n’avez jamais vu une de notre. >>

Losqu'il retira sa veste totalement, la belle jeune fille voya une quantité d'armes effrayantes. Il enleva un couteau et le lança sur le lit de manière à ce que l'arme tombe à plat.
* Elle semble lire dans mes pensées. De toute façon, je ne la questionnerai pas si elle ne veux pas. Bon! où ai-je mis ce fusils là? *
Il se retourna vers la jeune fille sans l'ombre de rien et lui répondi:
- Sans doute. Mais je n'en ai cure. La race où les distinctions d'une personne ne sont pas qulque chose d'important. Même le nom peut être annodin. Il suffit de nommer la personne devant nous de la manière que l'on veut et cette personne sera surnommé ainsi. Avez-vous déja vécu dans un clan, une bande ou quelque chose du genre? Non je ne crois pas, pas vous. De toute façon, le passé est du passé, il faut se tourné vers l'avenir et poursuivre ses rêves. Ce que je fais le plus souvent.
Raleven décrocha une arme assez longue de son dos. Il l'appuya à son épaule et visa quelque chose, rien de précis. Il la rebaissa et alla la posé sur une commode.